Homme
Erwan Brun, sportif et passionné
Je raconte combien de fois
ma langue a fait perdre la voix,
ma queue a rendu chienne,
mes tounsi, maroco algérienne...
102beurettes@blogspot.com
2 ALGÉRIENNES
Épisode 1
Ça fait déjà un bout de temps que je connais Chaïma... Je l'ai rencontrée quand j'avais 21ans, une Twingo framboise, pas un cheveu blanc !
J'étais à la fac donc je foutais rien. Je me levais tôt quand même. Affamé de sexe ! Je me souviens de mon vice de l'époque. Le chat, rien à voir avec l'animal. Plus de 1000 contacts MSN grattés sur skyrock rencontres. Tu vois le niveau !
Je parle d'un temps que les moins de 20ans... Y avait déjà le portable, certes. Pas de MMS. J'envoyais pas ma queue en JPEG à tout bout de champs. On était moins trash. On se doutait de l'issue, mais on faisait pas le scénar à l'avance.
C'était dans le 17ème. Malhserbes, le quartier où les riches ont choisi de se faire chier. La première fois que je l'ai vue, Chaïma, je l'ai prise pour une Asiatique. Avec ses petits yeux de chat et ses cheveux raides. J'étais pas si loin... Algérienne mais aussi Turque, aussi Mongole et je crois même un peu Tunisienne. J'allais baiser tout l'orient une bonne fois pour toute.
On s'est baladés. On a mangé une bonne planche de charcuterie... la petite s’en foutait des pratiques, elle aimait la cochonnaille, la cochonne… puis quand on puait bien de la gueule, on s'est partagé un chewing-gum. Moitié-moitié. On s'est embrassés en pleine rue.
J'ai tout de suite senti que je l'aimerai. Son baiser était chaud et entier. Tout son érotisme transpirait de sa langue brulante et douce. Sa bouche comme une chatte baveuse… J’imaginais la moiteur de son sexe souillant ses dessous. Je bandais déjà. Elle le sentait… Elle a poussé un petit gémissement, déjà.
On a pris la voiture sans rien dire, on est allés dans ma chambre de bonne. 16ème arrondissement, en dessous des toits, au dessus des bourgeois. Étreinte sans limite. Elle a gardé son boxer, trempé d'envie, pour faire la fille bien. Elle m'a vite sucé pour abréger mes attaques contre ce dernier morceau de tissu. Je bandais depuis son premier baiser. Deux heures d'érection, à cet âge, ça vous alourdit vraiment les couilles. Elles deviennent des marmites à sperme prêtes à déborder. J'étais pas habitué à ce qu'on couine comme ça en me suçant. Qu’on me malaxe les boules… J'ai prévenu que ça montait, gentleman ! elle m'a gardé en bouche. Une deux, trois quatre, cinq saillis avec chaque fois un petit mouvement de recul mais Chaïma ne perd pas une goutte. Elle se dégorge, lève la tête, déglutit tout d'un coup et revient me nettoyer la bite avec sa langue qu'elle tourne autour du gland. Le travail est propre. Ma bite est comme neuve, elle brille et des millions de moi-même nagent dans sa gorge à elle.
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2 ALGÉRIENNES
Episode 2
On s'est revus, on a baisé. Sa bouche était toujours là pour me lustrer le manche, et son cul, incroyable était là pour me faire repartir ! Puis elle est tombée amoureuse ; d'un autre !
On s'est revus quand même. En amis. On aimait lire tous les deux. On parlait de littérature... Elle appelait son copain devant moi. Elle lui disait qu'elle l'aimait. Moi je me taisais, je fumais une clope à la fenêtre.
Elle raccrochait, me racontait sa vie sexuelle avec son mec. Il était trop coincé. Il ne la prenait jamais en levrette, la respectait trop. Elle était toute menue Chaïma, mais foutue avec un cul comme deux coussins d’air bag. Un cul qui encaisse des coups de reins comme t’as pas idée… Son mec, quel con ! Elle voulait du sale et lui, il lui faisait l’amour comme dans Beverly Hills.
A chaque fois que je venais, c’était la même histoire, on jouait aux amis, puis je jouais au confident et finalement, comme il était tard, je restais dormir dans sa chambre de bonne… au dessus du ministère de l’intérieur !
Elle avait beau être amoureuse de son mec, à l’intérieur de ses cuisses, c’était le feu et 3 minutes après l’extinction de la lumière, le feu redoublait, elle me frôlait. Elle voulait être une fille bien mais au premier contact c’était trop tard, la pute démente qui contrôlait sa chatte reprenait le contrôle de sa vie.
On baisait tous les deux. Elle avait besoin de jouir pour dormir. Elle couinait en baisant aussi, elle aimait vraiment ça ! C'était intense mais pas encore ouf. J'étais trop sage à l'époque. Je me contentais de la faire jouir avec ma bouche et de la limer quelques minutes comme on fait à cet âge, en se concentrant fort pour ne pas jouir, en faisant tout pour détourner mon regarde de ce cul divin.
Chaïma aspirait à plus. Elle voulait qu'on la dominât qu'on lui tapât le cul à le rougir tout à fait. Qu'on la fît pleurer, elle voulait des coups de queues à se tordre de douleur et qu'on la consolât. Oui, qu'on la consolât... Je crois qu'elle aimait bien le subjonctif imparfait aussi...
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2 ALGÉRIENNES
Épisode 3
Quelques années sont passées. On se revoit, en amis bien sûr. Je vis en coloc. Sa voix est toujours aussi aiguë, une voix de gamine un peu idiote alors qu'elle ne l'est pas. Je l’invite chez moi, on fait un apéro.
On boit des coups dans le salon, y a du monde, coloc et amis de coloc, même une meuf que je connais à peine mais que j'aimerais bien baiser, une métisse avec le côté pute des blanches, et le côté affamé de sexe des noires. Je m’imagine baiser ma beurette et ma métisse comme ça dans le salon, ça me fout la gaule de gaulois.
J'occupe la chambre collée au salon et je sais que Chaïma exprime son plaisir dans une tonalité Si bémol, perçant les tympans. Je pourrais jamais la baiser tant que la soirée continuera.
Je l'embarque dans la salle de bain, un peu plus loin. Ferme la porte derrière elle. Je l'embrasse torridement... elle se met à genoux, réflexe de pupute à papa. Elle branle mon sexe, lèche mes couilles avec l’appétit du nourrisson pour le lait... j'aime ça ! Voir ma queue sur tout son visage... je veux sentir la chaleur mousseuse de sa petite bouche de pute... je serre ma queue dans ma main, mon gland se gorge de sang, j'aime quand il est énorme devant une petite bouche... elle ouvre grand la sienne. Je mets mes deux mains derrière sa tête et j'enfonce ma queue au fond de sa gorge... elle a mouvement de répulsion, essaie de s'en sortir mais je la maintiens... quelques secondes... elle tousse "oh putain !" Elle revient sur ma queue vaillante comme un boxeur sonné et elle y va... C'est elle qui enfonce sa bouche jusqu'à la base de ma verge... on y est presque... elle se retire : baise-moi dans la douche !
Chaïma a un cul de malade, qui a dû faire couler beaucoup d'encre et de sperme pendant ces années d'absence. Je la défroque avec le plus grand mal. Son cul est tellement bombé ! Je la plaque contre le lavabo, arrache son string trempé. Ça fait des heures qu'elle attend de se faire baiser. Dans ses fantasmes, elle a imaginé que je la baisais devant mes colocs, qu'elle allait se prendre des kilomètres de queue, que mon groupe d'amis lui passerait dessus sans ménagement. Je le sais, je suis un chien, c’est une louve !
Je pose ma main sur son sexe, béant, grand ouvert prêt à recevoir ma queue, une queue, des queues, que sais-je!
Je suis derrière elle. J'écarte son cul magistralement rebondi et le bouffe à pleine bouche. C'est un caviar ce cul, mes joues entre ses fesses d'acier et mes dents qui s'acharnent sur son intimité... Elle gémit, j'enfonce mon gros pouce dans sa chatte, elle halète !
Chaïma n'est plus. Ses yeux sont partis dans les ténèbres de la bestialité. Cette petite pute algérienne ne s'exprime que par couinements, veut se faire dominer. "Prends moi comme une chienne !"
Je la prends par les cheveux, l'amène sous la douche... fais couler l'eau glaciale. Je la penche en avant, sa nuque prend toute l'eau glacée tandis que son corps est brulant. Je suis derrière elle, la bloque. "Garde la tête froide sale chienne". Elle proteste et boum ! elle se prend un premier coup de bite au fond de son ventre. Je lui tiens les poignets derrière le dos en baisant sa chatte. Boum! deuxième coup de queue plus violent, elle hurle ! Toujours derrière elle, je lui fous des coups de queues de plus en plus fort... "Coupe l'eau je t'en prie !!"
Je tourne le contrôleur de température et le mets à fond vers le chaud... En quelques secondes, sa tête passe du glacial au bouillant, et je continue à la baiser comme un loup ... Je lâche toute retenue, je défonce sa petite chatte par des coups rapides et profonds. Ça ne s'arrête pas. La buée, les coups de queues incessants, et l'eau brulant son crane.. Ses jambes tremblent, Chaïma fléchit et tombe à genoux dans la douche. Elle pleure, a le visage rouge et les yeux injectés de sang. J'éteins l'eau... elle sort à 4 pattes de la douche, incapable de se relever... Il faut l'achever... je prends une serviette... la passe autour de sa taille et la tiens fermement des deux bouts. Elle a les genoux sur le carrelage froid de la salle de bain, je suis derrière elle, je vois son visage de chienne soumise dans la glace. Elle est à moi, la serviette emprisonne ses reins. Elle ne peut plus bouger... j'ai son cul en ligne de mire. Je commence à la prendre en levrette avec force puissance. Elle crie, je rugis, j'ai jamais démonté une jument comme elle... ma serviette me sert de rênes et je dirige son cul à loisir… Elle gueule, mes reins claquent contre son cul il n'y a plus de limite à la violence, je déchire sa chatte prise de spasmes. C'est l'abattoir, de la boucherie chevaline. Elle a la gueule sur le carrelage, elle pousse un cri magistral, un hurlement orgasmique et j'explose en elle....
On reste de longues minutes allongés sur le carrelage sans rien dire... elle m'embrasse et me câline à présent... elle se relève les jambes flageolantes. On sourit à l'idée qu'il va falloir traverser le salon pour regagner la chambre. Elle essaie de s'arranger mais elle ne ressemble plus à rien... on décide de reprendre une douche soft... On a meilleure allure à présent... On sort en peignoir et on traverse le salon dans un silence de plomb. "Bonne nuit !" je lance comme ça sans regarder personne. On entre dans la chambre. Les conversations du salon reprennent. Chaïma enlève son peignoir, s'allonge sur le ventre et me glisse "j'ai encore envie d'être ta petite chienne..."
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2ALGÉRIENNES
Épisode 4
J'ai 30 ans maintenant, je vis dans un appartement du 11ème, pas loin de Charly hebdo... Une rue tranquille quoi !
On s'est revus y a quelques semaines. Chaïma n'est plus avec son copain coincé alors elle a décidé de s'amuser. Elle vit toujours dans une chambre de bonne. Elle garde des mômes la journée, lit un peu pour son master de lettres modernes et j'imagine que la nuit elle se fait baiser inlassablement. On a bu un café. Puis un collègue nous a rejoint. On a discuté. Elle aime bien mon collègue. Elle aime bien peut-être tout le monde ? On se quitte, comme ça, sans rien faire. On se reverra surement.
Je passe la soirée avec mon collègue. C'est un mec intelligent. Vicieux à souhait avec les femmes, de préférence engagées. Sorte d'homo refoulé qui aime avant tout l'homme qui se cache derrière la femme. "Quelle est la première chose que vous regardez chez une femme ?
Son mec !"
Quoiqu'il en soit, il est séduisant. Grand, un visage taillé à la romaine. Un légionnaire du fantasme. Un écrivain de texto hors paire. Un cadreur de bites formidable. Des MMS à faire la tourner la perruque d'une loubavitch... A son air de ne pas y toucher, les femmes essaient de le saisir. Lui dresser un profil psychologique. Il est à la fois très gentil et très méchant, très tendre et très froid. Et jamais il ne donne l'impression de vouloir les baiser.
Ça les intrigue les femmes, ça les méduse... Moi, ça se voit tout de suite que j'ai envie d'elles, que je vais les embrasser toute entière avec ma grosse bouche de suceuse. Que je vais les malmener avec mes avant-bras saillants et mes mains de charpentier... On sème jamais le même trouble. On se partage les collègues en mal d'amour. Il est plus subtil. Il plait plus mais il baise moins. Il aime pas la conclusion. Il aime faire mouiller, j'aime faire jouir. On pourrait former une bonne équipe ensemble, mais on joue solo.
Ce soir-là avec mon collègue, on discute du boulot et on joue aux échecs. J'aime bien les échecs. Ça m'enlève de l'esprit la fille qui m'a montré son petit cul en MMS, celle qui me relance en texto... l'étudiante qui est venue me sucer dans ma classe, Leïla, Camille et tant de choses qui m'obsèdent.
J'envoie un petit texto à Chaïma. "Tu fais quoi ? On sort ? Je suis avec Antoine." Elle me répond "OK, je vous rejoins avec ma coloc."
Les deux arrivent. La coloc s'appelle Yasmine. Elle le visage des algériennes un peu sèches. Nez crochu, menton un pointu mais malgré tout une belle petite frange de pute et un air de vicieuse... Une belle bouche, ça compte aussi.
On discute, ça se passe bien. Ces algériennes ont fait le lycée français d'Alger, ce sont des bourges de là-bas qui vivent à deux dans une chambre de bonne du 16ème ici... Elles s'en sortiront très bien en suçant des bites de blancs. Ça finit toujours par payer quand on veut s'intégrer. Nous, on est pas dans ce registre. On peut pas en vouloir à notre argent, on en a pas.
Antoine est fatigué, c'est pas un fêtard. Il aime pas trop l'alcool. Ultime vice... On sort de chez lui.
Dans l’ascenseur qui met 3 plombes, Chaïma, nous confie qu'elle aimerait trop le sucer. Yasmine et moi on lui dit de remonter. Je suis sûr qu'il accepterait, il m'a dit qu'il la trouvait bonne la petite Chaïma avec son petit cul rebondi... Elle a le corps typique de la petite chienne... Épaules étroites, de très petits seins à qui les vendeurs de soutifs arrivent quand même à refourguer la marchandise, totalement inutile... Une petite taille avec un ventre plat, lisse, sans abdos mais ferme. Ses hanches arrondissent cette silhouette jusqu'à son cul ultra bombé qui remonte façon faux cul de brésilienne. Tous ses muscles se tiennent là, dans ses fesses noueuses et body buldées de la meuf qui a parcouru des kilomètres à cheval sur la queue des petits playboys blancs de Paris...
Un cul qui ferait bander une maison de retraite. Un cul qui ruinerait l'inventeur du Viagra.
Elle remonte timidement... On attend en bas avec Yasmine. On fume des clopes, on discute. Il m'arrive de parler d'autres choses que de Fist fucking dans la vie. On aborde Paris, mon métier, les enfants du quartier... L'immigration, l'Afrique !
Chaïma sort de l'ascenseur déjà. Elle s'essuie la bouche, il a dû venir en 2 minutes. Son pouvoir de couiner avec une demie baguette dans la bouche, c'est assez excitant faut dire. Suffit qu'elle cambre son dos, qu'on imagine prendre son cul de porno star et le coup part... Mais non, elle a pas osé, elle a fait semblant de chercher son tel, il a attendu impatiemment qu'elle se casse, elle lui a rien dit... Il s'est rien passé...
On sort, on prend le bus. J'ai pas la carte des soirées chics à Paris. Je me sappe assez mal. J'aime pas les bourges, je les flinguerais. J'aime les chiennes de rues pas les poules de chez Régine…
On se retrouve à Saint Michel comme les mecs de quartiers qui savent pas où aller. Latin corner, c'est l'enseigne de la boite. Ça me dit quelque chose... on m'en a déjà parlé. Plein de mecs se font recaler à l'entrée. J'arrive avec mes deux petites putes arabes. On rentre. Merci SOS racisme...
Dans la boite, que des filles ! Quasiment ! L'endroit est petit, exigu, et on meurt de chaud.
Le principe : des serveurs en boxers super bien gaulés qui se trémoussent en servant des cocktails à des gamines dingues de ça.
J'ai envie de pisser, je descends. Croise une bombe, robe bleue, légère, grand décolleté, petite blonde bronzée... je lui demande bêtement "où sont les toilettes ?" Elle m'accompagne, me montre, me sourit et remonte... Wahh coup de chaud ! J'ai un moment imaginé que 30 secondes après mon entrée dans ce bar, j'allais finir aux toilettes avec une bombe... Je pisse, je remonte.
Mes deux petites copines discutent avec un serveur bodybuldé. Je revois ma petite blonde. Raggatown... déchainée, elle est déchaïnée ! Elle m'agrippe, commence à danser. Je suis un pitre sur la piste ! Piètre danseur ! J'essaie de suivre la cadence, qu'à danser, qu'à danser... me dis-je. J'essaie de lui parler. Tiens, l'humour ça compense... Elle entend rien et s'en fout. Ma cuisse est devenue une rampe à cyprine. Elle se frotte dessus, collée à moi.
De fait, mes boules à sperme et ma queue sont collée à sa cuisse aussi, quelques millimètres de tissu nous séparent. Je commence à me tendre. Le bout de ma queue touche son appendice. Les mains dans son dos, elle a chaud. Je ruisselle aussi des tempes. Ses copines nous regardent. J'ai l'air d'un con. Mais qu'est ce qui bande mieux qu'un con ? Pas de doute, c'est la plus belle de toute la piste… on se frotte, on se frotte. Une main sur sa cuisse. Pas de refus... je monte un peu jusqu'au creux. Rien à redire... Une petite ficelle. Quel age ? 23/24... Mes deux arabes en ont fini avec le serveur. Elles discutent, me jettent des œillades. Si je continue ce frotti frotta, je vais la violer sur la piste... Je ferme les yeux, imagine... balayette, la blonde à terre... ses mains sur le sol... je soulève sa robe, la cambre, écarte son string, sors ma grosse queue, je la prends à 4 pattes sur la piste. D'un coup, 18 cm dans le ventre, elle gémit, regarde ses copines en pleurant. La chienne attaquée par un loup. Je martèle sa chatte, la foule pousse un cri de stupeur ! Ses copines arrivent pour la sortir de là... je m'agrippe à ses hanches, continue à la baiser sans capote. Je vais te foutre enceinte petite salope... "laisse-la elle est bourrée" crie sa copine la plus hargneuse. Je lui fous une torgnole, elle recule... je tire les cheveux de la petite blonde pleurnicheuse... décharge!
Je rouvre les yeux ! Faut que j'arrête de penser à des trucs comme ça, je vais finir par jouir sur sa cuisse...
Je tente une approche plus sensuelle... Un baiser dans le cou. Elle s'écarte, me regarde, me dit : "oh non non non !" et s'en va ! PUTAIN ! Sensualité de MERDE ! J'ai surement été victime d'un gage entre elle et ses copines. Cette fille n'en a rien à carrer de ma gueule ! Dépité, je m'en vais comme un prince de LU.
Je rejoins mes copines. « Alors ? ça vous plait ce bar ?
-Ouais carrément, c'est agréable pour les yeux. »
Tiens ! Ma jeune blonde est avec un serveur, elle a choisi le cocktail chantilly. Le serveur lui fait un petit show perso, elle boit le shot et mange la chantilly sur le torse sculpté du serveur. Ça doit être un enterrement de vie de jeune fille dit Yasmine. Les deux filles matent quand même la scène avec envie. Je ne sais pas ce qui se passe dans leur culotte mais j'imagine une certaine chaleur... Ces serveurs sont en train d'exciter toutes les filles du bar...
On boit, on parle et puis on décide de rentrer en taxis, tous les 3 chez moi...
Il est 4 heures du mat. J'ai déplié le canapé du salon pour les filles... Chaïma va prendre une douche...
Je raconte combien de fois
ma langue a fait perdre la voix,
ma queue a rendu chienne,
mes tounsi, maroco algérienne...
102beurettes@blogspot.com
2 ALGÉRIENNES
Épisode 1
Ça fait déjà un bout de temps que je connais Chaïma... Je l'ai rencontrée quand j'avais 21ans, une Twingo framboise, pas un cheveu blanc !
J'étais à la fac donc je foutais rien. Je me levais tôt quand même. Affamé de sexe ! Je me souviens de mon vice de l'époque. Le chat, rien à voir avec l'animal. Plus de 1000 contacts MSN grattés sur skyrock rencontres. Tu vois le niveau !
Je parle d'un temps que les moins de 20ans... Y avait déjà le portable, certes. Pas de MMS. J'envoyais pas ma queue en JPEG à tout bout de champs. On était moins trash. On se doutait de l'issue, mais on faisait pas le scénar à l'avance.
C'était dans le 17ème. Malhserbes, le quartier où les riches ont choisi de se faire chier. La première fois que je l'ai vue, Chaïma, je l'ai prise pour une Asiatique. Avec ses petits yeux de chat et ses cheveux raides. J'étais pas si loin... Algérienne mais aussi Turque, aussi Mongole et je crois même un peu Tunisienne. J'allais baiser tout l'orient une bonne fois pour toute.
On s'est baladés. On a mangé une bonne planche de charcuterie... la petite s’en foutait des pratiques, elle aimait la cochonnaille, la cochonne… puis quand on puait bien de la gueule, on s'est partagé un chewing-gum. Moitié-moitié. On s'est embrassés en pleine rue.
J'ai tout de suite senti que je l'aimerai. Son baiser était chaud et entier. Tout son érotisme transpirait de sa langue brulante et douce. Sa bouche comme une chatte baveuse… J’imaginais la moiteur de son sexe souillant ses dessous. Je bandais déjà. Elle le sentait… Elle a poussé un petit gémissement, déjà.
On a pris la voiture sans rien dire, on est allés dans ma chambre de bonne. 16ème arrondissement, en dessous des toits, au dessus des bourgeois. Étreinte sans limite. Elle a gardé son boxer, trempé d'envie, pour faire la fille bien. Elle m'a vite sucé pour abréger mes attaques contre ce dernier morceau de tissu. Je bandais depuis son premier baiser. Deux heures d'érection, à cet âge, ça vous alourdit vraiment les couilles. Elles deviennent des marmites à sperme prêtes à déborder. J'étais pas habitué à ce qu'on couine comme ça en me suçant. Qu’on me malaxe les boules… J'ai prévenu que ça montait, gentleman ! elle m'a gardé en bouche. Une deux, trois quatre, cinq saillis avec chaque fois un petit mouvement de recul mais Chaïma ne perd pas une goutte. Elle se dégorge, lève la tête, déglutit tout d'un coup et revient me nettoyer la bite avec sa langue qu'elle tourne autour du gland. Le travail est propre. Ma bite est comme neuve, elle brille et des millions de moi-même nagent dans sa gorge à elle.
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2 ALGÉRIENNES
Episode 2
On s'est revus, on a baisé. Sa bouche était toujours là pour me lustrer le manche, et son cul, incroyable était là pour me faire repartir ! Puis elle est tombée amoureuse ; d'un autre !
On s'est revus quand même. En amis. On aimait lire tous les deux. On parlait de littérature... Elle appelait son copain devant moi. Elle lui disait qu'elle l'aimait. Moi je me taisais, je fumais une clope à la fenêtre.
Elle raccrochait, me racontait sa vie sexuelle avec son mec. Il était trop coincé. Il ne la prenait jamais en levrette, la respectait trop. Elle était toute menue Chaïma, mais foutue avec un cul comme deux coussins d’air bag. Un cul qui encaisse des coups de reins comme t’as pas idée… Son mec, quel con ! Elle voulait du sale et lui, il lui faisait l’amour comme dans Beverly Hills.
A chaque fois que je venais, c’était la même histoire, on jouait aux amis, puis je jouais au confident et finalement, comme il était tard, je restais dormir dans sa chambre de bonne… au dessus du ministère de l’intérieur !
Elle avait beau être amoureuse de son mec, à l’intérieur de ses cuisses, c’était le feu et 3 minutes après l’extinction de la lumière, le feu redoublait, elle me frôlait. Elle voulait être une fille bien mais au premier contact c’était trop tard, la pute démente qui contrôlait sa chatte reprenait le contrôle de sa vie.
On baisait tous les deux. Elle avait besoin de jouir pour dormir. Elle couinait en baisant aussi, elle aimait vraiment ça ! C'était intense mais pas encore ouf. J'étais trop sage à l'époque. Je me contentais de la faire jouir avec ma bouche et de la limer quelques minutes comme on fait à cet âge, en se concentrant fort pour ne pas jouir, en faisant tout pour détourner mon regarde de ce cul divin.
Chaïma aspirait à plus. Elle voulait qu'on la dominât qu'on lui tapât le cul à le rougir tout à fait. Qu'on la fît pleurer, elle voulait des coups de queues à se tordre de douleur et qu'on la consolât. Oui, qu'on la consolât... Je crois qu'elle aimait bien le subjonctif imparfait aussi...
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2 ALGÉRIENNES
Épisode 3
Quelques années sont passées. On se revoit, en amis bien sûr. Je vis en coloc. Sa voix est toujours aussi aiguë, une voix de gamine un peu idiote alors qu'elle ne l'est pas. Je l’invite chez moi, on fait un apéro.
On boit des coups dans le salon, y a du monde, coloc et amis de coloc, même une meuf que je connais à peine mais que j'aimerais bien baiser, une métisse avec le côté pute des blanches, et le côté affamé de sexe des noires. Je m’imagine baiser ma beurette et ma métisse comme ça dans le salon, ça me fout la gaule de gaulois.
J'occupe la chambre collée au salon et je sais que Chaïma exprime son plaisir dans une tonalité Si bémol, perçant les tympans. Je pourrais jamais la baiser tant que la soirée continuera.
Je l'embarque dans la salle de bain, un peu plus loin. Ferme la porte derrière elle. Je l'embrasse torridement... elle se met à genoux, réflexe de pupute à papa. Elle branle mon sexe, lèche mes couilles avec l’appétit du nourrisson pour le lait... j'aime ça ! Voir ma queue sur tout son visage... je veux sentir la chaleur mousseuse de sa petite bouche de pute... je serre ma queue dans ma main, mon gland se gorge de sang, j'aime quand il est énorme devant une petite bouche... elle ouvre grand la sienne. Je mets mes deux mains derrière sa tête et j'enfonce ma queue au fond de sa gorge... elle a mouvement de répulsion, essaie de s'en sortir mais je la maintiens... quelques secondes... elle tousse "oh putain !" Elle revient sur ma queue vaillante comme un boxeur sonné et elle y va... C'est elle qui enfonce sa bouche jusqu'à la base de ma verge... on y est presque... elle se retire : baise-moi dans la douche !
Chaïma a un cul de malade, qui a dû faire couler beaucoup d'encre et de sperme pendant ces années d'absence. Je la défroque avec le plus grand mal. Son cul est tellement bombé ! Je la plaque contre le lavabo, arrache son string trempé. Ça fait des heures qu'elle attend de se faire baiser. Dans ses fantasmes, elle a imaginé que je la baisais devant mes colocs, qu'elle allait se prendre des kilomètres de queue, que mon groupe d'amis lui passerait dessus sans ménagement. Je le sais, je suis un chien, c’est une louve !
Je pose ma main sur son sexe, béant, grand ouvert prêt à recevoir ma queue, une queue, des queues, que sais-je!
Je suis derrière elle. J'écarte son cul magistralement rebondi et le bouffe à pleine bouche. C'est un caviar ce cul, mes joues entre ses fesses d'acier et mes dents qui s'acharnent sur son intimité... Elle gémit, j'enfonce mon gros pouce dans sa chatte, elle halète !
Chaïma n'est plus. Ses yeux sont partis dans les ténèbres de la bestialité. Cette petite pute algérienne ne s'exprime que par couinements, veut se faire dominer. "Prends moi comme une chienne !"
Je la prends par les cheveux, l'amène sous la douche... fais couler l'eau glaciale. Je la penche en avant, sa nuque prend toute l'eau glacée tandis que son corps est brulant. Je suis derrière elle, la bloque. "Garde la tête froide sale chienne". Elle proteste et boum ! elle se prend un premier coup de bite au fond de son ventre. Je lui tiens les poignets derrière le dos en baisant sa chatte. Boum! deuxième coup de queue plus violent, elle hurle ! Toujours derrière elle, je lui fous des coups de queues de plus en plus fort... "Coupe l'eau je t'en prie !!"
Je tourne le contrôleur de température et le mets à fond vers le chaud... En quelques secondes, sa tête passe du glacial au bouillant, et je continue à la baiser comme un loup ... Je lâche toute retenue, je défonce sa petite chatte par des coups rapides et profonds. Ça ne s'arrête pas. La buée, les coups de queues incessants, et l'eau brulant son crane.. Ses jambes tremblent, Chaïma fléchit et tombe à genoux dans la douche. Elle pleure, a le visage rouge et les yeux injectés de sang. J'éteins l'eau... elle sort à 4 pattes de la douche, incapable de se relever... Il faut l'achever... je prends une serviette... la passe autour de sa taille et la tiens fermement des deux bouts. Elle a les genoux sur le carrelage froid de la salle de bain, je suis derrière elle, je vois son visage de chienne soumise dans la glace. Elle est à moi, la serviette emprisonne ses reins. Elle ne peut plus bouger... j'ai son cul en ligne de mire. Je commence à la prendre en levrette avec force puissance. Elle crie, je rugis, j'ai jamais démonté une jument comme elle... ma serviette me sert de rênes et je dirige son cul à loisir… Elle gueule, mes reins claquent contre son cul il n'y a plus de limite à la violence, je déchire sa chatte prise de spasmes. C'est l'abattoir, de la boucherie chevaline. Elle a la gueule sur le carrelage, elle pousse un cri magistral, un hurlement orgasmique et j'explose en elle....
On reste de longues minutes allongés sur le carrelage sans rien dire... elle m'embrasse et me câline à présent... elle se relève les jambes flageolantes. On sourit à l'idée qu'il va falloir traverser le salon pour regagner la chambre. Elle essaie de s'arranger mais elle ne ressemble plus à rien... on décide de reprendre une douche soft... On a meilleure allure à présent... On sort en peignoir et on traverse le salon dans un silence de plomb. "Bonne nuit !" je lance comme ça sans regarder personne. On entre dans la chambre. Les conversations du salon reprennent. Chaïma enlève son peignoir, s'allonge sur le ventre et me glisse "j'ai encore envie d'être ta petite chienne..."
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2ALGÉRIENNES
Épisode 4
J'ai 30 ans maintenant, je vis dans un appartement du 11ème, pas loin de Charly hebdo... Une rue tranquille quoi !
On s'est revus y a quelques semaines. Chaïma n'est plus avec son copain coincé alors elle a décidé de s'amuser. Elle vit toujours dans une chambre de bonne. Elle garde des mômes la journée, lit un peu pour son master de lettres modernes et j'imagine que la nuit elle se fait baiser inlassablement. On a bu un café. Puis un collègue nous a rejoint. On a discuté. Elle aime bien mon collègue. Elle aime bien peut-être tout le monde ? On se quitte, comme ça, sans rien faire. On se reverra surement.
Je passe la soirée avec mon collègue. C'est un mec intelligent. Vicieux à souhait avec les femmes, de préférence engagées. Sorte d'homo refoulé qui aime avant tout l'homme qui se cache derrière la femme. "Quelle est la première chose que vous regardez chez une femme ?
Son mec !"
Quoiqu'il en soit, il est séduisant. Grand, un visage taillé à la romaine. Un légionnaire du fantasme. Un écrivain de texto hors paire. Un cadreur de bites formidable. Des MMS à faire la tourner la perruque d'une loubavitch... A son air de ne pas y toucher, les femmes essaient de le saisir. Lui dresser un profil psychologique. Il est à la fois très gentil et très méchant, très tendre et très froid. Et jamais il ne donne l'impression de vouloir les baiser.
Ça les intrigue les femmes, ça les méduse... Moi, ça se voit tout de suite que j'ai envie d'elles, que je vais les embrasser toute entière avec ma grosse bouche de suceuse. Que je vais les malmener avec mes avant-bras saillants et mes mains de charpentier... On sème jamais le même trouble. On se partage les collègues en mal d'amour. Il est plus subtil. Il plait plus mais il baise moins. Il aime pas la conclusion. Il aime faire mouiller, j'aime faire jouir. On pourrait former une bonne équipe ensemble, mais on joue solo.
Ce soir-là avec mon collègue, on discute du boulot et on joue aux échecs. J'aime bien les échecs. Ça m'enlève de l'esprit la fille qui m'a montré son petit cul en MMS, celle qui me relance en texto... l'étudiante qui est venue me sucer dans ma classe, Leïla, Camille et tant de choses qui m'obsèdent.
J'envoie un petit texto à Chaïma. "Tu fais quoi ? On sort ? Je suis avec Antoine." Elle me répond "OK, je vous rejoins avec ma coloc."
Les deux arrivent. La coloc s'appelle Yasmine. Elle le visage des algériennes un peu sèches. Nez crochu, menton un pointu mais malgré tout une belle petite frange de pute et un air de vicieuse... Une belle bouche, ça compte aussi.
On discute, ça se passe bien. Ces algériennes ont fait le lycée français d'Alger, ce sont des bourges de là-bas qui vivent à deux dans une chambre de bonne du 16ème ici... Elles s'en sortiront très bien en suçant des bites de blancs. Ça finit toujours par payer quand on veut s'intégrer. Nous, on est pas dans ce registre. On peut pas en vouloir à notre argent, on en a pas.
Antoine est fatigué, c'est pas un fêtard. Il aime pas trop l'alcool. Ultime vice... On sort de chez lui.
Dans l’ascenseur qui met 3 plombes, Chaïma, nous confie qu'elle aimerait trop le sucer. Yasmine et moi on lui dit de remonter. Je suis sûr qu'il accepterait, il m'a dit qu'il la trouvait bonne la petite Chaïma avec son petit cul rebondi... Elle a le corps typique de la petite chienne... Épaules étroites, de très petits seins à qui les vendeurs de soutifs arrivent quand même à refourguer la marchandise, totalement inutile... Une petite taille avec un ventre plat, lisse, sans abdos mais ferme. Ses hanches arrondissent cette silhouette jusqu'à son cul ultra bombé qui remonte façon faux cul de brésilienne. Tous ses muscles se tiennent là, dans ses fesses noueuses et body buldées de la meuf qui a parcouru des kilomètres à cheval sur la queue des petits playboys blancs de Paris...
Un cul qui ferait bander une maison de retraite. Un cul qui ruinerait l'inventeur du Viagra.
Elle remonte timidement... On attend en bas avec Yasmine. On fume des clopes, on discute. Il m'arrive de parler d'autres choses que de Fist fucking dans la vie. On aborde Paris, mon métier, les enfants du quartier... L'immigration, l'Afrique !
Chaïma sort de l'ascenseur déjà. Elle s'essuie la bouche, il a dû venir en 2 minutes. Son pouvoir de couiner avec une demie baguette dans la bouche, c'est assez excitant faut dire. Suffit qu'elle cambre son dos, qu'on imagine prendre son cul de porno star et le coup part... Mais non, elle a pas osé, elle a fait semblant de chercher son tel, il a attendu impatiemment qu'elle se casse, elle lui a rien dit... Il s'est rien passé...
On sort, on prend le bus. J'ai pas la carte des soirées chics à Paris. Je me sappe assez mal. J'aime pas les bourges, je les flinguerais. J'aime les chiennes de rues pas les poules de chez Régine…
On se retrouve à Saint Michel comme les mecs de quartiers qui savent pas où aller. Latin corner, c'est l'enseigne de la boite. Ça me dit quelque chose... on m'en a déjà parlé. Plein de mecs se font recaler à l'entrée. J'arrive avec mes deux petites putes arabes. On rentre. Merci SOS racisme...
Dans la boite, que des filles ! Quasiment ! L'endroit est petit, exigu, et on meurt de chaud.
Le principe : des serveurs en boxers super bien gaulés qui se trémoussent en servant des cocktails à des gamines dingues de ça.
J'ai envie de pisser, je descends. Croise une bombe, robe bleue, légère, grand décolleté, petite blonde bronzée... je lui demande bêtement "où sont les toilettes ?" Elle m'accompagne, me montre, me sourit et remonte... Wahh coup de chaud ! J'ai un moment imaginé que 30 secondes après mon entrée dans ce bar, j'allais finir aux toilettes avec une bombe... Je pisse, je remonte.
Mes deux petites copines discutent avec un serveur bodybuldé. Je revois ma petite blonde. Raggatown... déchainée, elle est déchaïnée ! Elle m'agrippe, commence à danser. Je suis un pitre sur la piste ! Piètre danseur ! J'essaie de suivre la cadence, qu'à danser, qu'à danser... me dis-je. J'essaie de lui parler. Tiens, l'humour ça compense... Elle entend rien et s'en fout. Ma cuisse est devenue une rampe à cyprine. Elle se frotte dessus, collée à moi.
De fait, mes boules à sperme et ma queue sont collée à sa cuisse aussi, quelques millimètres de tissu nous séparent. Je commence à me tendre. Le bout de ma queue touche son appendice. Les mains dans son dos, elle a chaud. Je ruisselle aussi des tempes. Ses copines nous regardent. J'ai l'air d'un con. Mais qu'est ce qui bande mieux qu'un con ? Pas de doute, c'est la plus belle de toute la piste… on se frotte, on se frotte. Une main sur sa cuisse. Pas de refus... je monte un peu jusqu'au creux. Rien à redire... Une petite ficelle. Quel age ? 23/24... Mes deux arabes en ont fini avec le serveur. Elles discutent, me jettent des œillades. Si je continue ce frotti frotta, je vais la violer sur la piste... Je ferme les yeux, imagine... balayette, la blonde à terre... ses mains sur le sol... je soulève sa robe, la cambre, écarte son string, sors ma grosse queue, je la prends à 4 pattes sur la piste. D'un coup, 18 cm dans le ventre, elle gémit, regarde ses copines en pleurant. La chienne attaquée par un loup. Je martèle sa chatte, la foule pousse un cri de stupeur ! Ses copines arrivent pour la sortir de là... je m'agrippe à ses hanches, continue à la baiser sans capote. Je vais te foutre enceinte petite salope... "laisse-la elle est bourrée" crie sa copine la plus hargneuse. Je lui fous une torgnole, elle recule... je tire les cheveux de la petite blonde pleurnicheuse... décharge!
Je rouvre les yeux ! Faut que j'arrête de penser à des trucs comme ça, je vais finir par jouir sur sa cuisse...
Je tente une approche plus sensuelle... Un baiser dans le cou. Elle s'écarte, me regarde, me dit : "oh non non non !" et s'en va ! PUTAIN ! Sensualité de MERDE ! J'ai surement été victime d'un gage entre elle et ses copines. Cette fille n'en a rien à carrer de ma gueule ! Dépité, je m'en vais comme un prince de LU.
Je rejoins mes copines. « Alors ? ça vous plait ce bar ?
-Ouais carrément, c'est agréable pour les yeux. »
Tiens ! Ma jeune blonde est avec un serveur, elle a choisi le cocktail chantilly. Le serveur lui fait un petit show perso, elle boit le shot et mange la chantilly sur le torse sculpté du serveur. Ça doit être un enterrement de vie de jeune fille dit Yasmine. Les deux filles matent quand même la scène avec envie. Je ne sais pas ce qui se passe dans leur culotte mais j'imagine une certaine chaleur... Ces serveurs sont en train d'exciter toutes les filles du bar...
On boit, on parle et puis on décide de rentrer en taxis, tous les 3 chez moi...
Il est 4 heures du mat. J'ai déplié le canapé du salon pour les filles... Chaïma va prendre une douche...
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Homme